samedi 27 août 2011

J'aime lire


Mince, j'ai comme l'impression qu'avec mon titre, j'ai déjà tout dévoilé du sujet de cet article ! Quoique... Non, petits malins, je ne vais pas vous faire l'apologie du célèbre mensuel pour enfants ! Je l'ai pourtant dévoré étant beaucoup plus jeune et qui sait ce sera peut-être l'occasion d'un autre article un de ces jours ! Mais pour l'instant, il s'agit juste d'une simple affirmation : j'aime lire ! Ce qui entraîne 2 choses : primo, vous aurez droit de partager avec moi régulièrement certaines de mes lectures ; secondo, j'aimerais beaucoup, non que dis-je ? sur ce point, cela relève carrément de la dictature, mes enfants devront aimer lire ! Oui, oui, j'assume complètement, je suis un ignoble tyran, mais, enfin, si on ne peut plus tyranniser nos enfants que nous reste-t-il à nous pauvres parents, je vous le demande ! 

Alors bon, je pourrais compter sur le fait que me voir lire leur donne envie, sur les multiples bouquins passionnants que je leur offre et sur leur curiosité inépuisable ! Et en vérité, je peux compter sur tout cela, mais ça ne m'empêche pas d'écouter un peu ce que Daniel Pennac a à dire la-dessus dans Comme un roman et ma foi, c'est intelligent, c'est ultra pédagogique et pour ne rien gâcher c'est très drôle ! Comme un roman, c'est un livre ludo-éducatif pour parents et enseignants ! J'imagine qu'il ne vous suffit pas que je vous dise, oui c'est bien, faut le lire tout ça tout ça ! Vous avez tort mais là n'est pas la question et comme je ne peux vous tyranniser comme mes enfants, je vais plutôt essayer de vous donner envie !
Alors zou, on va se prendre une petite habitude, vous et moi, sans tomber dans la routine non plus hein, trois points pour vous donner envie (ou pas) de lire le bouquin du post !  



1) C'est un livre pour donner aux enfants et aux ados l'envie de lire (ça c'est bien) et c'est aussi une réflexion toute simple sur la pédagogie ! De temps en temps, une petite remise en place des fondamentaux, ça ne peut pas faire de mal ! Du type, trop de pédagogie tue la pédagogie : "quels pédagogues nous étions quand nous n'avions pas le souci de la pédagogie !" ou encore petit remontage de bretelles en règle, sur notre désir fou de rendement, de productivité et d'efficacité avec nos enfants :
"- Je répète ma question : qu'est-ce qui est arrivé à ce prince quand son père l'a chassé du château ?
Nous insistons, nous insistons. Bon Dieu, il n'est pas pensable que ce gosse n'ait pas compris le contenu de ces 15 lignes ! Ce n'est tout de même pas la mer à boire, 15 lignes !
Nous étions son conteur, nous sommes devenus son comptable.
- Puisque c'est comme ça, pas de télévision tout à l'heure !
Eh ! oui...
Oui... La télévision élevée à la dignité de récompense... et, par corollaire, la lecture ravalée au rang de corvée... c'est de nous, cette trouvaille..."
Oui, monsieur Pennac nous rappelle tranquillement que le temps ce n'est pas que de l'argent et qu'en terme d'amour du livre et d'éducation, c'est en prenant son temps, en étant ludique et à l'écoute que les solutions apparaîtront ! "Il [l'enfant] est, d'entrée de jeu, le bon lecteur qu'il restera si les adultes qui l'entourent nourrissent son enthousiasme au lieu de se prouver leur compétence, stimulent son désir d'apprendre avant de lui imposer le devoir de réciter, l'accompagnent dans son effort sans se contenter de l'attendre au tournant, consentent à perdre des soirées au lieu de chercher à gagner du temps, font vibrer le présent sans brandir la menace de l'avenir, se refusent à changer en corvée ce qui était un plaisir, entretiennent ce plaisir jusqu'à ce qu'il s'en fasse un devoir, fondent ce devoir sur la gratuité de tout apprentissage culturel, et retrouvent eux-mêmes le plaisir de cette gratuité." Arf ! Moi quand je lis ça, je me dis que Pennac est un dieu et que je suis toute petite !
2) Ce livre est drôle et même très drôle ! Il nous renvoie sans cesse à la relation paradoxale et fluctuante que nous entretenons avec l'objet-livre au fil des années !  Tour à tour , objet de joie ou de tristesse, objet qui nous libère ou qui nous emprisonne ! Nous, face au livre enfant, nous face au livre adulte, nous face au livre adolescent et une palette diverse de postures.
"Et le voilà, adolescent reclus dans sa chambre, devant un livre qu'il ne lit pas. [...] Page 48. Il n'ose compter les heures passées à atteindre cette quarante-huitième page. Le bouquin en compte exactement quatre cent quarante-six. Autant dire cinq cents. 500 pages ! S'il y avait des dialogues, encore. Tu parles ! Des pages bourrées de lignes comprimées entre des marges minuscules, de noirs paragraphes entassés les uns sur les autres, et, par-ci, par-là, la charité d'un dialogue - un tiret, comme une oasis, qui indique qu'un personnage parle à un autre personnage. Mais l'autre ne lui répond pas. Suit un bloc de douze pages ! Douze pages d'encre noire ! Ça manque d'air ! Ouh là que ça manque d'air ! Putain de bordel de merde ! Il jure. Désolé, mais il jure. Putain de bordel de merde de bouquin à la con ! Page quarante-huit... S'il se souvenait, au moins, du contenu de ces quarante-sept premières pages !"  Tout autant de saynètes qui nous renvoient sans cesse à notre vécu, à ce que vivent ou vivront nos enfants...
3) Parce que Pennac, doucement mais sûrement, nous remet aussi les pendules à l'heure, à nous :  parents, adultes, qui n'avons plus le temps de lire, qui sommes débordés, qui avons mieux à faire ! Petite piqûre de rappel qui réveille en nous l'envie de lire ! C'est que l'air de rien, pour que nos enfants pensent que lire est un plaisir, ça serait bien qu'on leur montre un peu l'exemple !
"Où trouver le temps de lire
Grave problème. 
Qui n'en est pas un. 
Dès que se pose la question du temps de lire, c'est que l'envie n'y est pas. Car, à y regarder de près, personne n'a jamais le temps de lire. Ni les petits, ni les ados, ni les grands. La vie est une entrave perpétuelle à la lecture. 
- Lire ? Je voudrais bien , mais le boulot, les enfants, la maison, je n'ai plus le temps...
- Comme je vous envie d'avoir le temps de lire ! 
Et pourquoi celle-ci qui travaille, fait des courses, élève trois enfants, conduit sa voiture, aime trois hommes, fréquente le dentiste, déménage la semaine prochaine, trouve-t-elle le temps de lire et ce chaste rentier célibataire non ? Le temps de lire est toujours du temps volé. [...] Volé à quoi ? 
Disons au devoir de vivre. [...] 
Le temps de lire, comme le temps d'aimer, dilate le temps de vivre. 
Si on devait envisager l'amour du point de vue de notre emploi du temps, qui s'y risquerait ? Qui a le temps d'être amoureux ? A-t-on jamais vu pourtant, un amoureux ne pas prendre le temps d'aimer ? [...] La lecture ne relève pas de l'organisation du temps social , elle est, comme l'amour, une manière d'être. 
La question n'est pas de savoir si j'ai le temps de lire ou pas (temps que personne, d'ailleurs, ne me donnera), mais si je m'offre ou non le bonheur d'être lecteur." 
Que dire, que dire !? Pourquoi ne pas s'offrir "le bonheur d'être lecteur" en commençant par Comme un roman, tiens, ça serait un joli hommage à Daniel (oui, j'aime tellement ses bouquins que je considère que j'ai gagné le droit de l'appeler par son petit nom !) !

A très vite et bonne lecture !!!

dimanche 21 août 2011

La crise des 2 ans 2 mois et 4 jours

Alors par quoi qu'on va commencer vous et moi ? Vous me direz ce que vous en pensez mais moi je me disais que je pourrais commencer par le truc qui m'a fait me dire "mince, je devrais ouvrir un blog et en parler" ! Ça se tient, nan ? Alors voilà, mesdames et messieurs, sous vos yeux ébahis, je vais oser le faire, je vais parler d'un sujet complètement tabou, un truc auquel personne ne t'a préparé  toi jeune parent qui échoue ici : la crise des 2 ans, 2 mois et 4 jours (je vous l'ai fait à la louche, ça peut bien sûr être un peu avant, un peu après, hein, on va pas chipoter non plus)  !!! C'est bien simple ici, la crise a débuté un dimanche soir et qu'on ne me dise pas que dans quelques années, je l'aurais oublié et que c'est pour ça que je n'en parlerais pas aux jeunes parents parce que c'est juste  inoubliable !!! Non, moi, je n'ai pas peur des mots, je parle plutôt d'un vaste complot ourdi par les autres parents !!! C'est le fameux concept du j'en-ai-bavé-sans-que-personne-ne-me-prévienne-alors-ils-vont-en-baver-sans-que-je-les-prévienne ! Mais heureusement pour vous, je suis là, je suis prête à exposer au grand jour ce moment de solitude terrible vécu par tant de parents !

Ça y est là, je sens que j'ai bien hameçonné le public? Mais qu'est-ce que c'est que cette crise, mais qu'est-ce, qu'est-ce ? crie la foule en délire. Mégalo, moi, si peu, puis c'est mon blog, si je veux y coller des foules en délire, c'est mon problème dites ! Donc, revenons à nos moutons ! Attention, attention, ici, on va parler sommeil du bambin, du cher ange, du petit être innocent, frêle, démuni, si attendrissant, si fragile... mais qui, punaise, se refuse à dormir, argh !!! Revenons en arrière, séquence flashback juste là maintenant ! Quand vous fûtes enceinte de votre premier muchacho, on ne cessât de vous dire : "ma chérie, fais le plein de sommeil, parce qu'après les premiers mois, tu ne vas pas dormir beaucoup", "alors prête pour les nuits, ah, ah, ah...", "tu vas voir ma pauvre, les nuits vont être dures, moi la copine, de la cousine de la grande tante de ma concierge, son fils n'a fait ses nuits qu'à 14 ans et 3mois !" et autres petites phrases qui préparent tant au grand bonheur de la maternité ! Quand bambino fut là, on continua à vous torpiller à coup de "ma pauvre bichette, t'as pas bonne mine, il ne fait pas encore ses nuits... ", "les nuits sont difficile, ah, ah, ah...", "qui c'est qui va bien dormir, c'est moi parce que toi, ton petit glouton va s'en donner à coeur joie..." C'est fou comme les nuits pourries des jeunes parents exacerbent une compassion teintée de sadisme, vous aussi vous avez remarqué ?! Bref, vous ne pouvez pas dire qu'on ne vous avait pas prévenu, un bébé quand ça naît, ça ne dort pas la nuit ou par tranches minuscules ! Et c'est somme toute assez vrai ! Fin de l'acte I, début de l'acte II, le drame se noue !  Bébé grandit, il a fini par comprendre que non, non, le jour ce n'est pas comme la nuit et que oui, oui, chouchouloulou, la nuit on ne mange pas, on dort ! La nuit tous les chats sont gris et tous les bébés dorment, du moins le vôtre et c'est bien le principal ! La nuit instant magique de sérénité où pointe parfois une dent difficile qui vous rappelle comme les autres nuits sont tranquilles, où la poésie d'une gastro-vomito vous fait sentir la chance d'avoir des nuits complètes dans vos draps propres, frais et repassés !

Votre bambino a 2 ans, les nuits c'est dans la poche ! Votre enfant est formidable et vous êtes des parents hors pair ! Et bien non, pauvre innocent(e), ce n'est pas fini et même ça ne fait que commencer !!!  Et ça personne ne vous le dit, on nous cache tout, on nous dit rien ! Moi-même, j'ai cherché sur les blogs, demandée aux Mamans de grands enfants, rien de rien ! Tenez vous donc aux aguets ! La crise des 2 ans, 2 mois et 4 jours n'est peut-être pas si loin  ! Elle est fortement reconnaissable quand elle arrive mais pour vous préparez mentalement une petite description ! Avant, vous couchiez le bambino, un coup de rituel du soir et hop, il s'endormait tranquillement et vous, vous étiez au calme avec t'chéri ! Après, un mini-monstre hurlant dès qu'on fait mine de l'approcher de son lit, une heure, voir deux heures pour réussir à l'endormir, un rituel du coucher qui s'apparente plus à un chemin de croix qu'à la mélodie du bonheur ! Avant des nuits d'une traite jusqu'au lendemain, afin d'accueillir tous ensemble dans la joie et la bonne humeur l'ami du petit déjeuner ! Après, un bonhomme qui se réveille et hurle (on en prend l'habitude), qui développe une capacité à passer la barrière de son lit et à débarquer à tout moment en hurlant (toujours) dans votre salon, dans votre chambre, dans votre salle de bain, dans quelque endroit où vous vous terrez en espérant, en priant, en croisant les doigts et les orteils pour que cet enfant, que dis-je pour que cette bête sauvage, s'endorme ! Malheureusement, vous avez beau appliquer la technique de l'autruche et tenter de cacher frénétiquement votre tête dans le parquet, la bête ne dort point ! Lasse vous en terminez avec la méthode passive et décidez qu'il est temps d'éduquer cet enfant sauvage, place donc à la méthode active avec son éventail de possibilités : coin et mains dans le dos, cris et hurlements façon T'AS-VU-Y-A-PAS-QUE-TOI-QUI-SAIT-HURLEEEEEEEEEEEEEEER-CHOUCHOU-D'AMOUR et même avouons-le, quitte à voir débarquer la brigade Anti, la première fessée ! A ce moment-là de l'histoire à peu près 2 fins possibles : premièrement, vous faites partie de cette catégorie privilégiée équipée d'un chouchouloulou ou d'une chouchoutelouloute particulièrement coopératif(ve) ! Un petit coup de "viens mon chéri, on va chasser les vilains monstres et autres fantômes" et le voilà rapidement prêt à regagner ses pénates ! Autant vous le dire, vous, je ne vous parle plus, je suis jalouse et je n'ai qu'une chose à dire, vous allez forcément en baver à l'adolescence parce que sinon la vie est trop injuste !!! Secondement,  vous jouez dans ma catégorie, vous avez investi dans un modèle chouchouloulou tête de bois,  vous pouvez passer de la gentillesse à l'agressivité, du calme à l'énervement, de la supplique aux menaces, lui, reste droit dans ses bottes, hurlements au coucher, cris dans la nuit, désobéissance optimum ! Je vous dirais bien bonne chance en tournant les talons, mais comme dit plus haut, je ne suis pas vacharde donc je ne vais pas vous laisser seul dans votre profond désarroi ! Mon légendaire optimisme et moi, à l'époque, nous en avions pris un sérieux coup ! Pour la première fois, nous avons formulé ces mots "mais pourquoi suis-je une mauvaise mère ?", suivi d'un "va falloir qu'on l'emmène chez un pédo-psy, cet enfant est au plus mal" ! Arf moment de solitude et de doute extrême ! Heureusement Dieu dans son extrême miséricorde a inventé les copines, les copinautes, les mamans d'enfants d'un petit peu plus de 2 ans, 2 mois et 4 jours, celles qui vous voyant au fond du trou, vont vous avouer, meuhhhhhhhh nan t'inquiète, ici aussi il y a quelques mois, il nous a fait le coup !!! Et là d'un coup, les écailles vous tombent des yeux, oui, oui, chez la voisine d'à côté, le loustic sortait de son lit et courait dans l'appart' en criant une bonne partie de la soirée ; un peu plus loin la chérinette employait la fameuse technique du -je-veux-un-bisou, lever de la chérinette 50 fois pour 50 bisous, un coup à vous calmer vos accès de tendresse maternelle ; et chez une troisième un chouchouloulou qui a soif, qui a envie de pipi, qui veut lire un livre, qui veut qu'on lui chante une chanson... Bref partout des levers, partout des courses poursuites dans la maison, des cris, des larmes, de l'action et de l'émotion forte !!! 

Heureusement pour vous, moi, j'ai The Solution et je vous la donne de suite ! La solution, c'est : ... Non mais vous rigolez ou quoi, z'y avez vraiment cru ! Z'êtes parents maintenant, faut arrêter de croire au père noël ! Des solutions miracle, 'y en n'a pas ! Des conseils, ça on peut éventuellement tenter ! Ce qu'il vous faut, c'est un équipement de survie : patience, fermeté, bonnes copines (ou bons copains, pas de sexisme, on accueille les jeunes papas avec plaisir) et vitamine C ! Chez nous la crise a duré presque 6 semaines, mais on a bien conscience que le notre est très, très endurant niveau casse-bonbon ! Le coin aura tout de même vaincu l'affreuse bête sauvage, ainsi que la porte de la chambre ouverte avec lumière dans le couloir ! On dira que globalement ça dure entre 3 et 5 semaines, ça peut paraître extrêmement long mais avec du recul, ce n'est pas tant que ça ! A peine, le temps d'une repousse de poil après une épilation à la cire, autant dire rien ! Donc patience !!! Et quand l'envie de l'incruster dans le mur, de le sangler à son lit ou de lui faire faire 3 fois le tour de son slip sans toucher l'élastique devient trop forte, je vous donne la pensée qui sauve "tu vas voir mon chouchouloulou d'amour pour tes 14 ans, je te réserve quelques réveils nocturnes à ma façon, comme ça, juste parce que la vengeance est un plat qui se mange froid !" 

Allez, à très vite et faites de beaux rêves !!!

samedi 20 août 2011

Mais c'est qui celle-là ?


Alors oui, bon, d'accord, si vous arrivez là, a priori, c'est que vous me connaissez un peu ! Mais soyons fous, prenons-nous à rêver (ça coûte pas plus cher), peut-être bien qu'un jour, des gens, des gens d'ailleurs, des gens que je ne connais pas, atterriront, là, sur mon blog ! Et bien à ces gens-là et aux autres aussi, me voilà, vous m'avez trouvé, c'est moi : Fola, la mère qui rit ! Vous voyez la Vache qui rit ? Vous vous souvenez de la mère Denis ? Vous remettez la mère Michel (oui, oui, celle qui a perdu son chat!) ? Et bien voilà tout est dit, moi j'suis juste au milieu de tout ça !!!
La mère qui rit comme tout engin très bien conçu est fournie avec toutes les options soit dans cette version là : un t'chéri et 2 loustics version mâle ! On préservera l'intimité de ces chers "anges" en ne les appelant que par leurs petits noms ! En premier lieu, nous avons Neumbeurre Wan, que nous raccourcirons en Wan au besoin (toute ressemblance avec padawan, Obi-wan est totalement fortuite voulue) ! Wan a presque 3 ans, toutes ses dents (d'enfant de 3 ans), un vocabulaire qui s'accroît de manière exponentielle, un caractère qui, comment dire, se fortifie de jours en jours et une bonne dose de dynamisme ! Et puis il y a P'tit Deuz, raccourci en Deuz (comment ça, y en a qui lisent Deutz ? L'alcool est à consommer avec modération, je le rappelle ! Nan mais oh, on est sur un blog de Maman respectable ! Ou pas  mais là n'est pas la question !) ! Deuz du haut de ses 10 mois a plusieurs dents, un vocabulaire qui se limite à Ma-man, Pa-pa, Ma-mam et Ba-ba, pour le dernier mot les paris sont ouverts sur sa signification, ici, on n'a pas encore compris ! Un caractère qui se dévoile jour après jour et une bonne dose de dynamisme ! Quant à T'chéri...c'est T'chéri !

Bon, je sens qu'y en a encore (toujours les mêmes qui râlent ce me semble) qui disent oui, mais bon qu'est-ce donc qu'on va y trouver sur ce blog ? Alors sur ce blog, normalement, si je ne change pas d'avis, si j'en ai l'envie, le temps, tout ça, tout ça, on y trouvera... tout et n'importe quoi parce que sinon c'est pas drôle et qu'on n'est pas là pour pleurnicher !!!

Voilà, tout est dit pour le moment, je me suis présentée, vous avez nettement le droit d'en faire autant, histoire que je sache à qui je parle tout de même !

Bon vent et à très vite !

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